La FNPSMS, en partenariat avec l’UFS et le GNIS, investit dans deux opérations de communication à destination des agriculteurs afin de promouvoir le progrès génétique. « Ma vache, mon maïs fourrage et moi » : déjà plus de 7 500 fans Facebook. L’investissement du fameux réseau social porte ses fruits ! En 1 mois et demi d’animation, la page Facebook a déjà conquis plus de 5 000 fans supplémentaires par rapport à l’année passée. La ligne éditoriale qui alterne articles techniques, témoignages vidéo et publications plus légères a visiblement conquis les éleveurs. Alors que le jeu concours photo bat toujours son plein, 3 épisodes de la web-série « Question de ration », réalisés en collaboration avec Cultivar Elevage, seront partagés, puis relayés sur des pages partenaires. La barre symbolique des 10 000 fans pourrait ainsi être franchie dès la fin d’année. En maïs grain, comprendre pour mieux communiquer. L’année 2016 avait été l’occasion d’une première communication institutionnelle de soutien à la culture du maïs grain destinée à enrayer la baisse des surfaces. Reconduite pour 3 ans, la filière a souhaité prendre le temps de la réflexion et creuser de nouvelles pistes de communication. Pour ce faire, une étude quantitative sur les déterminants du choix d’assolement et la place du maïs dans la rotation est actuellement menée par BVA. Les résultats de cette enquête, attendus pour fin novembre, permettront de dégager de nouveaux arguments et de connaître les supports les plus pertinents pour délivrer nos messages. Parallèlement à cette étude, un témoignage porte actuellement la voix de la filière sur le site Plein Champ et dans l’édition Réussir Grandes Cultures d’Octobre. Ce témoignage, c’est celui de Fabien Roux, polyculteur-éleveur dans la Vienne, qui affiche un rendement grain de 96 q/ha aux normes depuis 10 ans en culture sèche. Une performance agronomique conjuguée à une bonne rentabilité et à un faible suivi cultural qui font du maïs grain un choix stratégique pour son exploitation